Retrouver de l’énergie en rééquilibrant son alimentation

MEILLEURE ENERGIE, MEILLEURE VIE

Dans cet article, je vous parle de l’importance de l’alimentation qui nourrit le vivant en nous, quels sont les freins et ce que que l’on peut mettre en place pour y remédier.

Je ne suis pas spécialiste de la nutrition, mais je mesure aujourd’hui combien il est important de l’intégrer dans l’équilibre et le maintien de notre énergie au quotidien.

Je vous partage mon expérience d’une cure de 15 jours que j’ai réalisée grâce aux Détox Box de Martine Fallon -Cuisine de l’énergie.

A ce jour, après 1 mois et demi, je continue et prends beaucoup de plaisir à intégrer cette nouvelle façon de m’alimenter au quotidien.

 

Personnellement, en tant  que coach psycho-corporelle et massothérapeute spécialisée dans la gestion du stress et des angoisses, maintenir et entretenir mon énergie a toujours été une question fondamentale. Découvrir mon accompagnement

Un bon nombre d’éléments outre l’alimentation participent entre autre au maintien de notre énergie tels que:

• l’exercice physique et la mise en mouvement du corps
• combler nos besoins de sécurité, d’utilité, de confiance en soi, en la vie et l’estime de soi
• la qualité de nos pensées, de nos relations
• notre capacité à poser nos limites, à pouvoir exprimer nos émotions et ressentis
• le soin de soi dans sa globalité
• développer l’ouverture du coeur
•  repérer la beauté dans la simplicité de notre quotidien
• …

Comment faire pour retrouver de l’énergie quand rien ne va plus?

La période Covid n’a pas été de tout repos pour moi.  Non seulement comme de nombreuses personnes, je me suis retrouvée dans les métiers dits « non essentiels » et mon besoin d’utilité s’est vu sincèrement malmené.

Pour des raisons xy (je ne rentre dans aucune case),  pour percevoir une indemnité.  Je ne vous dis pas cela pour polémiquer, cela n’est pas le but de mon article mais plutôt pour vous planter le décor.

Du stress, j’en ai eu,  peur de manquer et un avenir incertain ont eu raison de moi.  Résultat, je suis tombée en toute conscience dans mes travers. Sous l’emprise du stress, des pensées négatives m’ont envahie et  j’ai  cherché à combler le sentiment de mal-être.  Bien évidemment, dans un premier temps pas avec une alimentation équilibrée, ben oui !!!

Quand mon corps m’a envoyé des signaux d’alarme, du type acidité gastrique quotidienne, je me suis sentie obligée de regarder la situation en face.  Rien ne sert à continuer la politique de l’autruche, ce n’est pas elle qui va arranger les choses.

Mon énergie était basse et je devais agir. 

Pas facile en tant que bonne épicurienne de dire non à ce qui me mettait un peu de baume au coeur et surtout qui apaisait mon stress.  Car soyons franc, le petit verre de vin rouge le soir et les sucreries c’est quand même agréable sur le moment.

Mais le gros problème, c’est que le sucre appelle le sucre et le cercle vicieux est enclenché.  J’étais en plein dedans!!!

J’ai, comme j’aime l’appeler, une boite à outils bien fournie pour relever mon énergie en cas de coup dur, mais cette fois je savais que je devais aller dans un endroit où je rechignais d’aller depuis longtemps.

« L’alimentation » 

Retrouver une cohérence nutritionnelle qui potentialise le vivant en moi et non l’inverse.

Mais pour ce faire, j’avais besoin d’aide

Pas que je n’y connaisse rien.  Non bien au contraire.  J’ai fait une année de naturopathie durant laquelle j’ai pas mal découvert les principes d’une alimentation plus équilibrée. Cela fait plusieurs années que j’ai lu et collectionné les livres de Martine Fallon, Paul grégoire, Kousmine, Valérie Mostert, … Cette façon de se nourrir m’a toujours inspirée.

Au fond de moi, je sais, je sens que c’est bon pour moi.  Je me suis équipée d’un mixeur puissant, installé un système de filtration d’eau par osmose inverse, fait un potager,…  J’ai à plusieurs reprises changé mes habitudes alimentaires durant 1 ou 2 semaines, mais je n’arrivais pas à garder le cap sur la longueur.

Et je suis bien consciente de ne pas être la seule dans le cas.  C’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai décidé d’écrire cet article.

Vous partager mon expérience, pour se rendre compte que c’est à force de mettre des choses en place, de se faire aider, d’expérimenter, de tomber et de se relever que l’on évolue et qu’on avance.  J’ai tiré beaucoup d’enseignements dans mon parcours et ma relation à la nourriture.

Et je garde cette confiance en moi  que l’on peut faire évoluer toute chose.  Il faut toujours y croire et ne pas vouloir tout changer sur un coup de baguette magique.

Aaaaah j’en ai déjà mis de l’énergie et de l’investissement.  Mais cette fois je devais bien reconnaître que j’avais besoin d’aide pour enclencher un processus.

De plus, je n’aime pas trop les extrêmes et au niveau de l’alimentation il en va de même.  Je n’ai pas envie d’exclure des aliments comme les oeufs, la viande, le gluten, etc, devenir vegan ou autre, même si je respecte les personnes qui fonctionnent de cette manière.

La cure détoxBox de Martine Fallon.

Autant vous dire que malgré tous les bienfaits que l’on dit des cures, je ne suis pas une très grande adepte.

En effet, je n’ai pas confiance en moi en post cure, càd de reprendre et réintégrer de façon douce et lente les aliments.

Je me suis donc toujours abstenue de faire des jeûnes ou des monodiètes pour éviter à mon corps de faire le grand écart.

Dans la cure proposée par Martine Fallon, on mange certes pas de tout, mais cela correspond plus à ce que je me sens capable de mettre en place.

Une cure détox Box de 15 jours versus La Cuisine de l’Energie

Voici le lien à suivre si vous avez envie d’en savoir plus : Martine Fallon – La cuisine de l’énergie

Retrouver mon énergie et ma vitalité, voir s’envoler 2 petits kilos et qui sait adopter et intégrer de nouveaux réflexes au quotidien.  

Voici donc mon objectif!

C’est vrai que durant cette période pas évidente empreinte de restriction, de limitation de nos libertés individuelles, de peurs, de modification de notre façon de vivre, je me suis laissée tentée un peu plus que d’habitude par des sucreries et par un petit apéro, mais mon corps est génial, il me montre très vite ses limites.
Alors j’essaie de l’écouter et la cure de Martine Fallon a cela de génial, c’est un déclencheur magnifique!

Pendant 1 ou 2 semaines, je n’avais juste rien à faire si ce n’est aller chercher ma boîte contenant tous les plats préparés du p’tit déj au souper.
A chaque jour la surprise!
A chaque jour de nouvelles saveurs!

Ce qui m’a particulièrement plu c’est la collation de 17h, de délicieux mets sucrés ne contenants que des ingrédients bruts et naturels, truffés de vitamines, anti-oxydants, de sucres lents, de minéraux d’enzymes et d’acides gras essentiels qui sont bons pour l’organisme et qui boostent l’énergie.

Du coup pendant ces 15 jours, où je n’avais rien à faire au niveau culinaire, je me suis replongée dans l’envirronnement de La Cuisine de l’énergie au travers des livres.

J’ai acheté le livre « Douce détox » qu’elle a écrit conjointement avec sa fille Dilara.
Ce livre enseigne une nouvelle façon d’envisager une petite douceur. Vous pouvez vous faire plaisir sans culpabilité.
Bien sûr la gourmandise n’est pas à manger en quantité, mais elle est tellement goûteuse et riche en bons nutriments que cela suffit.

Le besoin de sucre ne s’est pas fait sentir et je n’ai pas craqué.  Tout cela sans devoir prendre sur moi.

Ce livre,  on le comprend très vite est le fruit de recherches et d’une passion de transmettre qu’il existe une façon saine et tout aussi gourmande pour se nourrir.

Hier j’ai testé le tiramisu, juste une tuerie . La recette est tirée du livre « Douce détox » 130 desserts zéro kilos zéro culpabilité.

Franchement, ceux qui me connaissent bien le confirmeront, faire des desserts n’a jamais été mon fort.

Mais là, je me suis équipée et cela me motive, me redonne de l’énergie d’apprendre à fabriquer ces desserts et collations moi-même.

Depuis la cure, j’ai retrouvé pas mal d’énergie, ma créativité est à nouveau attisée et je me suis remise au sport sans effort.

Je ne vous cache pas que les premiers jours de cure ont été un petit peu durs car quand le corps se détoxifie, il amène quelques petits inconvénients mais cela ne dure pas.

Aujourd’hui, je suis plus que jamais à l’écoute de mon corps. En tant que bonne épicurienne, j’avais tendance à nier l’effet d’une alimentation trop riches,alors qu’au fond je le savais.  Je me rends compte que mon équilibre acido-basique n’était pas à son top.

Cuisiner a toujours été un plaisir pour moi et il y a  quelques jours je me suis posée cette question:

Sylvie que veux tu pour toi?
Continuer à faire l’autruche et manger à l’ancienne ou décides-tu de mettre à profit tout ce que tu sais, tout ce que tu as appris au fil des ans sur la cuisine qui nourrit le VIVANT en toi.

C’est vrai que cela demande de s’équiper de matériel adapté (que j’avais acheté donc aucune excuse).
Mais c’est aussi choisir dans quoi on investit.

Loin de moi de vouloir exclure gluten, oeufs, viande, etc mais privilégier la qualité, réduire ma quantité et explorer de nouvelles façons de faire.

A 50 ans, je choisis de privilégier ce qui me donne de l’énergie et qui fera que les années qui me restent à vivre, je les vive  dans un corps dans lequel je me sens bien.

Changer sa façon de s’alimenter n’est pas une chose facile !

Les 4 freins au changement

• L’émotionnel

Personnellement je suis attachée à la cuisine de mon enfance goûtue, simple, qui réveille consciemment et inconsciemment en moi des souvenirs, par une odeur, une texture,…J’aime aussi au travers de la nourriture faire plaisir aux gens qui me sont chers.  C’est une façon d’apporter de l’attention aux autres, de leur faire plaisir, d’obtenir de la reconnaissance etc.

Qu’ai-je mis en place?

J’ai décidé de ne pas renoncer  à tout jamais à manger un bon petit chicon au gratin ou un bon pain de viande mais tout d’abord d’apprendre à le préparer avec d’autres ingrédients qui respecte mieux les associations par exemple et de me réserver une fois par semaine ou tous les 10 jours un petit plat traditionnel que j’aime bien.

De cette façon, j’évite la frustration, la culpabilité et le risque de tomber dans les extrêmes

• L’organisation

Changer sa façon de cuisiner demande de l’investissement, car les associations, les ingrédients, les cuissons changent.

Pas question d’aller faire ses courses sans un minimum de préparation.  Cela demande du temps et de l’investissement.

Qu’ai-je mis en place?

J’ai ré-organiser mes armoires, acheté les ingrédients de base.  Trop chouette tout est propre et bien organisé.  Je retrouve le plaisir de jouer à la dînette.  Vraiment! Vous avez remarqué qu’au travers de cette ré-organisation, je nourris mon émotionnel autrement? Intéressant!

Je prépare ma liste de courses 2 fois par semaine et je prends du plaisir à le faire.

J’utilise les chutes de mes légumes pour faire des jus le matin.  Je ne jette rien.

• Le temps

Tout cela demande du temps et c’est bien vrai.

Anticipation, préparation des menus, des courses.

Car une chose fondamentale pour moi dans ce changement, c’est qu’auparavant, je n’avais pas besoin d’une liste de courses, je connaissais les ingrédients dont j’avais besoin pour ma recette.

Par exemple une béchamel:

Méthode traditionnelle : du beurre, de la farine, du lait, un peu de fromage râpé, muscade, sel et poivre et le tour est joué.

Je connais par coeur. je suis inconsciemment compétente et cela ne me demande plus d’effort.

Méthode cuisine de l’énergie : échalotte, panais, noix de cajou, un peu de parmesan, un cube de bouillon bio, noix de muscade, sel et poivre

Je suis en apprentissage et je dois accepter, que seul le temps et la répétition me mèneront à la compétence inconsciente

Qu’ai-je fait pour dégager du temps?

En fait j’en ai fait ma priorité.  Et je dégage le temps nécessaire.  Pourquoi?

J’ai pris conscience des bénéfices et vois le potentiel sur le long terme.

Car la cure Détox box de Martine Fallon que j’ai suivi durant 15 jours, a été un délai suffisamment long pour que je puisse m’apercevoir des bienfaits de cette alimentation sur mon corps et mon énergie.

En 15 jours, plus d’acidité du tout, une énergie qui se faisait de jour en jour plus positive, une fierté de m’être offerte ce cadeau dans une période de manque, une créativité qui revenait et une envie de bouger mon corps.

• Le coût

C’est vrai que lorsque j’ai décidé de me lancer dans cette cure, mon compte en banque ne fleurissait pas.

Mais il y a une chose que j’ai retenu dans tout mon parcours.

Ce n’est pas en vibrant le manque que j’attire l’abondance.  J’ai donc décidé d’investir en moi, dans mon corps et ma santé pour retrouver ma vitalité.

J’ai compris et je savais que c’était un chemin que je devais emprunter et chaque chose en son temps.

Le temps pour moi était venu, je sentais que c’était juste.

 

Les bénéfices de la cure

Plus d’acidité en 3 jours à peine

Pus de réveils nocturnes.  Je dors comme un bébé.

Une énergie de jour en jour plus vivante

Une créativité qui est réactivée

Une fierté de mon investissement personnel

Une connexion à mon corps et à mes sens beaucoup plus affinée

Et surtout plus de culpabilité de donner trop de sucre à mon corps alors que je savais pertinemment bien que cela était nocif

Mes conseils post cure

Etre à l’écoute de son corps de son ressenti, de ses goûts.

S’autoriser de temps en temps un petit écart mais ne pas retomber dans ses travers.  Ce n’est pas parce qu’on a craqué une fois qu’on ne peut pas repartir du bon pied le lendemain.

Pour ce faire, il est important de manger des collations et de les préparer soi-même pour avoir les apports nécessaire, s’autoriser une énergy ball aux cacahuètes ou une barre de tiramisu trop délicieux.

En mettre au  congélateur pour les jours où on n’a pas le temps.

Avoir des fruits secs en réserve comme des dattes de Medjool délicieuses ou des figues, noix de pécan ou autres quand le stock est vide

Après mes 15 jours de cure, le café n’avais plus le même goût.  Aujourd’hui, j’en bois un petit deux à trois fois par semaine après mon repas de midi.  Il me fait plaisir, mon corps l’accepte très bien.  Mais je sais très bien que si j’en reprends 3 par jour comme avant, mon brûlant reviendra.

Je sens ce qui fait du bien à mon corps et inversement.

Je prends énormément de plaisir à soigner la présentation de mes assiettes, ma créativité peut s’exprimer

Rien n’est impossible à celui qui s’écoute et qui désire le meilleur pour son corps et pour sa vie.

Il faut écouter cette petite voix au fond de soi qui nous dicte la voie à suivre et repérer notre difficulté à y aller car on croit qu’on y arrivera pas, qu’ on n’a pas assez de volonté, de temps, d’argent, etc…

Tout est possible à celui qui s’autorise à expérimenter et à en retirer les enseignements.

Une chose importante: trouver sa détermination à vouloir changer, ce qui nous incite et fait sens à modifier nos comportements.  C’est cela qui va nous porter dans le quotidien pour développer de nouveaux comportements.

Je remercie Martine Fallon d’avoir créer ce concept de Détox Box qui est une réelle aubaine de prendre soin de soi sans que ce soit une charge en plus quand on est fatigué.